vendredi 26 mars 2010
INFO NEGO 27. Une journée mouvementée
La journée a bien mal commencé lorsque l'employeur, répondant à nos demandes, notamment sur le salaire, sur la taille des groupes cours, sur l'exonération des frais de scolarité et sur la propriété intellectuelle, a fait comme si son offre globale et finale du 16 mars était toujours d'actualité et comme si l'assemblée générale du 18 mars n'avait jamais eu lieu.
Sur nos demandes salariales, le porte-parole patronal nous a répondu que nous n'avions qu'à devenir professeurs si nous voulions la même rémunération pour la tâche d'enseignement.
Sur la taille des groupes cours, il nie tout à coup qu'il y ait un problème à cet égard.
Sur la propriété intellectuelle, il faudrait attendre le résultat des travaux d'un comité qui se penche sur cette question plutôt que d'en négocier ensemble les conditions.
Sur l'exonération, ils estiment que c'est un privilège que l'on accorde uniquement aux employés réguliers.
Sur les accompagnateurs et coachs, l'employeur a annoncé qu'il pourrait y avoir un règlement si les autres sujets étaient réglés à leur satisfaction.
Dès le début de l'après-midi, nous avons offert à l'employeur de le rencontrer samedi, dimanche, lundi et les autres jours si nécessaire.
Nous avons proposé de continuer à avancer sur les clauses déjà engagées sans en éliminer par avance.
Nous avons d'ailleurs réussi à obtenir une entente sur la prime de départ à la retraite.
Nous nous rencontrerons donc samedi, dimanche et les autres jours si nécessaire sur ces bases.
Le travail s'annonce rude, mais nous sommes confortés par votre soutien.
Sur nos demandes salariales, le porte-parole patronal nous a répondu que nous n'avions qu'à devenir professeurs si nous voulions la même rémunération pour la tâche d'enseignement.
Sur la taille des groupes cours, il nie tout à coup qu'il y ait un problème à cet égard.
Sur la propriété intellectuelle, il faudrait attendre le résultat des travaux d'un comité qui se penche sur cette question plutôt que d'en négocier ensemble les conditions.
Sur l'exonération, ils estiment que c'est un privilège que l'on accorde uniquement aux employés réguliers.
Sur les accompagnateurs et coachs, l'employeur a annoncé qu'il pourrait y avoir un règlement si les autres sujets étaient réglés à leur satisfaction.
Dès le début de l'après-midi, nous avons offert à l'employeur de le rencontrer samedi, dimanche, lundi et les autres jours si nécessaire.
Nous avons proposé de continuer à avancer sur les clauses déjà engagées sans en éliminer par avance.
Nous avons d'ailleurs réussi à obtenir une entente sur la prime de départ à la retraite.
Nous nous rencontrerons donc samedi, dimanche et les autres jours si nécessaire sur ces bases.
Le travail s'annonce rude, mais nous sommes confortés par votre soutien.