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vendredi 26 février 2010

Supervision de stages

Il a été porté à notre attention que la Faculté des sciences de l'éducation considère les stages comme pouvant se continuer dans les écoles. On aurait aussi proposé que des cadres puissent les évaluer.

Nous sommes en litige avec l'administration sur ce sujet et nous étudions les recours.

Votre exécutif syndical

Coupure de paye

Chers membres du SCCCUM,


Nous avons appris que l'Université avait coupé la paye de tous les chargés de cours pour les périodes de grève qui ont précédé la grève générale illimitée, même si vous n'enseigniez pas ce jour-là.

Nous soumettons la question à nos services juridiques et nous envisagerons tous les recours possibles.

Nous vous tiendrons au courant dès que nous aurons du neuf.

Salutations syndicales,

Francis Lagacé, président

Grève générale illimité à ce moment-ci

Chers membres du SCCCUM,

Comme vous le savez, nous avons dû travailler longtemps avant d'obtenir le dépôt de l'employeur. Nous sommes arrivés à des ententes mineures, notamment sur la création du comité santé et sécurité, une chose déjà prévue dans les lois depuis longtemps.

Nous nous sommes aussi entendus sur la procédure à suivre en cas de harcèlement et sur la procédure de dépôt de certificat médical en cas de maladie durant plus d'une semaine.

Chaque entente a été le fruit de négociations dans lesquelles nous avons laissé tomber certains aspects de nos demandes, telles que vous avez pu les lire sur notre site.

Toutefois, nous avons essuyé des refus catégoriques sur les demandes centrales que sont la taille des groupes-cours, l'attribution de deux cours au premier tour pour les personnes en simple emploi et le rattrapage salarial.

Nous avons maintes fois offert à l'employeur de discuter de toute proposition de rechange concernant la taille des groupes-cours, mais la partie patronale répond qu'elle ne veut pas mettre ces balises de vos conditions d'enseignement dans la convention. Nous sommes ouverts à des propositions, mais nous ne pouvons nous contenter de promesses qui ne seraient pas dans la convention, car la dernière fois (en 2007), nous avons eu droit à un comité qui ne s'est prononcé sur rien.

Pour l'attribution, c'est aussi un refus catégorique inexplicable.

Sur les salaires, on nous offre un maigre 2% sur toutes les incidences financières. Ça ne laisse pas grand-chose.

D'ailleurs, sur la prime de départ à la retraite, si l'Université est prête à diminuer le pointage requis, elle demande en échange de la diminuer de moitié. Cela ne vous avantagera pas.

Les grèves perlées ont eu l'effet de faire parler davantage l'employeur, qui a fait son dépôt final. Le malheur, c'est que ce dépôt ne contenait rien au sujet de nos demandes, aucune proposition ne concerne les trois enjeux majeurs.

Sur la lettre d'entente 11 qui concerne les accompagnatrices, accompagnateurs et coachs, la partie patronale veut leur retirer leur statut d'enseignants et les priver d'acquis déjà prévus (notamment intégration et perfectionnement).

Sur la propriété intellectuelle, l'Université veut s'attribuer tout le travail que vous faites pour elle.

Pour que les choses avancent, il faut donc accentuer la pression. Le moment choisi n'est pas dû au hasard. Pour mettre en jeu la validation d'une session, il faut entamer les moyens de pression lourd avant le huitième cours.

Même s'il n'y a pas de rencontre prévue avant le 8 mars, nous offrons à la partie patronale de la rencontrer si elle a des offres à nous faire.

Vous ne voulez pas que la grève s'éternise, vous voulez que l'employeur règle. Pour cela, nous utilisons le mandat accordé par l'Assemblée générale, au moment jugé opportun, et ce moment est arrivé. Votre appui est le gage de la réussite de la négociation, car si la négo se règle à la table, elle se gagne à l'extérieur dans le rapport de force que vous pouvez exprimer.

Salutations syndicales et solidaires,

Francis Lagacé, président

mercredi 24 février 2010

MESSAGE IMPORTANT DE VOTRE EXÉCUTIF SYNDICAL

Chers membres du SCCCUM,

Pour répondre à toutes les questions que peut soulever la situation actuelle, le SCCCUM a mis en place des mesures. En premier lieu, le SCCCUM assure une permanence téléphonique de 9h à 17h du lundi ou vendredi. Vous pouvez aussi nous faire parvenir vos commentaires et questions par courriel à scccum@gmail.com. Vos commentaires sont précieux pour nous car ils nous permettent de nous ajuster le plus possible à la situation. Bien sûr, vous pouvez toujours consulter le blogue des négociations sur lequel vous trouverez des informations générales mises à jour au fur et à mesure des événements.

Par ailleurs, selon nos statuts et la pratique habituelle il y aura la tenue prochaine d’une assemblée à convoquer au moment opportun en fonction de l’évolution des négociations.

Il nous semble questionnable que certaines personnes, visiblement bien informées, se soient emparées de la liste des courriels des membres du syndicat, liste dont l’accès et l’usage est normalement régi par des règles strictes. Nous avons porté ce fait à la connaissance à la direction de l’Université puisque le SCCCUM a comme responsabilité et préoccupation morales de s'assurer que notre action se déroule de manière démocratique et dans le respect des faits et des opinions.

Salutations syndicales.


LAGACÉ, Francis, président

SCCCUM

514-343-7766

http://www.scccumennego.blogspot.com

PIQUET DE GRÈVE DU VENDREDI 26 FÉVRIER 2010

Nous vous donnons rendez-vous de 12 h à 15 h le vendredi 26 février 2010 à la Faculté de l'Aménagement.

Le piquet de grève se tiendra devant l'entrée qui se trouve dans la cour à laquelle on accède par la rue Louis-Colin. Première rue perpendiculaire à Édouard-Montpetit quand on regarde à gauche en sortant du métro.

On tourne à droite sur Louis-Colin et on se rend au bout de la petite rue, où l'on trouve la cour de la Faculté d'Aménagement.

On vous attend à 12 h. N'oubliez pas votre foulard bleu.




mardi 23 février 2010

INFO NÉGO NUMÉRO 16 : Les chargées et chargés de cours de l'Université de Montréal sont en grève parce que...

Mardi 23 février 2010

Au point où nous en sommes, un bilan s'impose pour expliquer la situation. Et ce document tient lieu d'Info-Négo numéro 16.

L'équipe syndicale était prête dès le mois de juin 2009 à déposer des demandes normatives. Lors d'une première rencontre, l'Université nous a dit qu'elle ne négocierait pas tant que toutes les demandes financières ne seraient pas connues. Nous nous sommes exécutés le 28 septembre 2009 et l'Université a fait ses demandes le 13 octobre 2009.

Rappelons que ces demandes remettaient en cause les libérations syndicales et l'ancienneté. Il a fallu demander et redemander que l'Université réponde à nos demandes essentielles que vous connaissez: taille des groupes cours, attribution de deux cours au premier tour pour les simple emploi et rattrapage salarial plus augmentation.

Alors que l'Université a exigé un dépôt complet, il a fallu attendre au 8 février 2010 pour qu'elle daigne faire la même chose pour nous. Son dépôt ne contenait aucune réponse à nos demandes, sauf pour la prime de départ à la retraite qui était assortie d'une diminution de moitié.

Sur la taille des groupes cours, refus total de négocier. Sur les salaires, une proposition de 2% pour cette année sur tous les avantages financiers et peut-être les paramètres gouvernementaux pour les autres années, encore une fois diminués de tout avantage financier que nous obtiendrions.

Sur l'attribution, l'employeur nous dit qu'il est inacceptable de donner deux cours au premier tour aux personnes en simple emploi sans aucune autre explication.

Sur les accompagnatrices, accompagnateurs et coachs, l'employeur veut pratiquement les retirer de la convention parce qu'ils ne les considère pas comme des enseignants. Ils seraient alors privés d'avantages déjà acquis dans la convention actuelle (entre autres intégration et perfectionnement).

Nous avons fait des gains minimes comme l'acceptation enfin d'un comité de santé et sécurité, alors que cela est déjà prévu par la loi. Et certains accords obtenus à la table en rapport avec l'intégration et le perfectionnement ont été retirés par l'employeur.

Les dernières discussions ont porté sur l'attribution où la partie patronale refuse catégoriquement notre proposition. Il a aussi été question de la propriété intellectuelle. Là encore, l'employeur propose des reculs plutôt que de nous accorder nos droits sur notre travail, allant même jusqu'à remettre en cause nos droits moraux sur le travail fait à sa demande.

Pourtant, nous sommes à la traîne des autres syndicats de chargées et chargés de cours pour ce qui est de la rémunération (en moyenne 500$ de moins). Pourtant la moyenne des classes est passée de 41,8 à 48,4 étudiants pour les cours théoriques. Pourtant 42,4 % de nos membres constatent une diminution du nombre d'heures d'auxiliariat pour les aider dans leurs cours. Pourtant, tant l'Université Laval que l'Université du Québec en Outaouais ont des mesures conventionnées pour pallier à l'augmentation de la taille des groupes-cours. Par exemple, à l'Université Laval, au-delà de 60 étudiants, une aide pédagogique (environ 2,5 h par étudiant dépassant les 60) pour payer des auxiliaires ou à défaut pour compenser la chargée ou le chargé de cours pour le travail supplémentaire.

Nous voulons que la qualité de notre relation pédagogique soit préservée et améliorée. Nous voulons que les conditions d'enseignement, qui sont les conditions d'apprentissage de nos étudiants, soient meilleures.

Nous avons droit à une rémunération juste. L'Université prétexte qu'elle ne peut augmenter son déficit. Les déficits de l'Université ne relèvent pas du fonds de fonctionnement auquel nous émargeons, mais bien au fonds d'immobilisations et au fonds de dotation. Nous n'avons donc rien à voir avec les déficits. D'ailleurs, nous qui donnons 50% des cours de premier cycle (en excluant médecine) ne représentons pas tout à fait 5% de la masse salariale de l'Université.

Pourtant, l'Université ne s'est pas gênée pour accorder des augmentations rétroactive de 2,5 millions à ses hauts dirigeants. Pourtant, l'Université refuse d'inscrire dans ses budgets les revenus supplémentaires (autour de 16 millions) que génère l'augmentation des effectifs étudiants, augmentation qui se répètera pour les trois prochaines années d'après la Conférence des recteurs et principaux d'universités du Québec (CRÉPUQ).

Devant tant de mauvaise foi et de mépris, devant l'absence de proposition sur nos enjeux majeurs, nous devons passer à des moyens de pression plus lourds dans l'espoir que l'Université comprendra qu'il est dans l'intérêt de tous que les chargées et chargés de cours aient de meilleures conditions de travail.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Chargé-es de cours de l’Université de Montréal

Grève générale illimitée dès demain

Montréal, le 23 février 2010 – Sans contrat de travail depuis près de six mois et après une vingtième rencontre de négociation qui, une fois de plus, n’a débouché sur rien concret en ce qui concerne leurs principales demandes, les chargé-es de cours de l’Université de Montréal en sont venus à la conclusion que le seul moyen de faire avancer cette négociation était de recourir à la grève générale illimitée. Jusqu’à maintenant ils avaient eu recours à deux demi-journées et à une journée complète de grève dans l’espoir de faire débloquer les pourparlers. La rencontre de cet avant-midi était la 6e en présence d’un conciliateur.

Conformément au mandat qu’il a reçu de l’assemblée générale, le 31 janvier, le conseil exécutif du syndicat (SCCCUM–FNEEQ–CSN) a décidé, ce midi, de déclencher la grève dès 13 h, le mercredi 24 février.

« Ce n’est pas de gaieté de cœur que nous en sommes venus à cette décision, explique le président du syndicat, Francis Lagacé, mais c’est le seul moyen dont nous disposons pour inciter l’administration à faire preuve d’ouverture face à nos demandes légitimes, qui ont été décidées en assemblée générale. Ces revendications tiennent compte de la qualité de l’enseignement pour les étudiants et reflètent notre volonté de nous faire respecter, ce qui n’est pas le cas présentement. »

Le syndicat est disponible pour négocier

Le président du syndicat spécifie : « Aucune séance de négociation n’est prévue d’ici le 8 mars, mais nous exhortons l’employeur à faire preuve de bonne volonté en ajoutant, le plus rapidement possible, des journées supplémentaires. Quant au syndicat, il est ouvert à d’autres rencontres pour faire avancer la négociation et faire en sorte que les cours reprennent le plus rapidement possible. »

Les 2433 chargé-es de cours de l’Université de Montréal donnent 50 % des cours au premier cycle (à l’exclusion de la médecine), mais leur salaire ne représente même pas 5 % de la masse salariale de l’institution. Qualifiés, consciencieux et passionnés, ils sont en fait une vraie aubaine pour l’institution, qui refuse de les reconnaître à leur juste valeur.

Les principales demandes des chargé-es de cours concernent :

- la taille des groupes-cours, qui croît sans cesse, ce qui a une incidence sur la qualité de la relation pédagogique, tout en augmentant considérablement la tâche des enseignants ;
- le rattrapage salarial puisque leur rémunération est inférieure à celle des chargé-es de cours des autres universités québécoises ;
- l’accès au travail en attribuant deux cours, au premier tour, aux personnes en simple emploi,

ce qui offre un meilleur soutien à la catégorie la plus précaire ;

- un meilleur accès à la prime de départ à la retraite puisque, actuellement, une personne chargée de cours qui donne trois cours par année devrait enseigner pendant 42 ans avant d’y avoir droit.


Évidemment, il est hors de question pour le syndicat d’accepter que l’Université puisse, comme elle le demande :

a) ne plus reconnaître comme des enseignants les accompagnateurs et coachs de la Faculté de musique, avec la conséquence qu’ils ne disposeraient plus des mêmes avantages que les chargés de cours (entre autres, intégration et perfectionnement) ;

b) annuler la moitié des points au premier désistement et faire perdre l’emploi au deuxième désistement ;

c) diminuer l’offre de cours aux syndiqué-es du SCCCUM en retirant la limite du nombre de cours donnés par les professeurs retraités ;

d) augmenter la durée de la période d’essai (probation) de 3 à 6 cours.

-30-

Renseignements : Benoit Aubry, Service des communications de la CSN.

AVIS DE GRÈVE ILLIMITÉE À COMPTER DE MERCREDI 24 FÉVRIER 2010, 13 HEURES

Devant le peu d'avancée à la table de négociation, le conseil exécutif du SCCCUM a décidé de déclencher la grève générale illimitée à compter de mercredi 24 février 2010, 13 heures.

Il y aura un piquet de grève devant le 3200 Jean-Brillant à 13 heures mercredi.

Présentez-vous à 13 heures.

Jeudi à 12 h, il y aura une activité commune BBQ hivernal devant le 3200 Jean-Brillant. Venez nombreux pour manifester et échanger en toute solidarité.

Nous aurons la visite d'invités spéciaux : les présidents des autres syndicats de chargés de cours des universités québécoises.
C'est un rendez-vous! N'oubliez pas vos foulards bleus.

Dès maintenant et à l'avenir, les seules informations disponibles seront transmises sur le blogue: http://www.scccumennego.blogspot.com
Consultez-le régulièrement.

jeudi 18 février 2010

Avis de grève le vendredi 19 février, de 8 heures à 22 heures.


Il y aura une journée complète de grève vendredi 19 février 2010, de 8 heures à 22 heures.

Il y a un premier lieu de piquet de grève devant le pavillon Marie-Victorin.

3 plages horaires:

à 8 heures (bloc de 8 heures à 11 heures),

à 11 heures (bloc de 11 heures à 14 heures),

à 14 heures (de 14 heures à 17 heures).

Présentez-vous au début de la plage horaire, n’oubliez pas d’apporter votre foulard bleu.

Il y aura un deuxième lieu de piquet de grève devant le pavillon de l’aménagement (2940 chemin de la côte-sainte-Catherine).

À midi (bloc de midi à 15 heures).

Présentez-vous au début de la plage horaire, n’oubliez pas d’apporter votre foulard bleu.

Info négo numéro 15

Info négo numéro 15
Jeudi 18 février 2010.


L’employeur persiste et signe

Voici le bilan de la rencontre de conciliation d’aujourd’hui, le 18 février.

Il y a eu entente sur la procédure de plainte en cas de harcèlement et un détail mineur concernant la remise d’un certificat médical.

Il y a eu des tentatives d’échanges de notre part qui n’ont pas porté fruit.

La position de l’employeur sur les enjeux fondamentaux reste fermée :

Taille des groupes cours : refus catégorique d’inclure cette notion dans la convention. Selon le porte parole de la partie patronale, il n’y a pas de corrélation entre la charge de travail et le nombre d’étudiants.

Salaires : seulement 2 % d’augmentation sur 4 ans incluant toute considération financière (intégration, perfectionnement, etc.).

Accès au travail : l’Université trouve « totalement inacceptable » d’accorder 2 cours au premier tour pour les membres en simple emploi.

Désistement d’un contrat signé : annulation de la moitié des points au premier désistement, et perte d’emploi au deuxième désistement.

Retraite : coupure de la moitié de la prime de départ à la retraite.

Musique : perte d’acquis des accompagnateurs et coachs qui ne sont plus reconnus comme des enseignants et donc ne disposent plus des mêmes avantages que les chargés de cours (entre autres intégration et perfectionnement).

Diminution de l’offre de cours pour les chargés de cours
en retirant la limite du nombre de cours donnés par les profs retraités.

Probation : augmentation de la durée de probation de 3 à 6 cours.

Devant ce mépris constant de nos revendications légitimes, nous estimons qu’il faut poursuivre les moyens de pression conformément au mandat accordé par l’assemblée générale le 31 janvier dernier.

En conséquence, il y aura une journée complète de grève vendredi 19 février 2010, de 8 heures à 22 heures.

Il y a un premier lieu de piquet de grève devant le pavillon Marie-Victorin.
3 plages horaires:
à 8 heures (bloc de 8 heures à 11 heures),
à 11 heures (bloc de 11 heures à 14 heures),
à 14 heures (de 14 heures à 17 heures).
Présentez-vous au début de la plage horaire, n’oubliez pas d’apporter votre foulard bleu.

Il y aura un deuxième lieu de piquet de grève devant le pavillon de l’aménagement (2940 chemin de la côte-sainte-Catherine).
À midi (bloc de midi à 15 heures).
Présentez-vous au début de la plage horaire, n’oubliez pas d’apporter votre foulard bleu.

mardi 16 février 2010

Mercredi 17 février, deuxième demi-journée de grève, de 13 heures à 19 heures, devant le 3200 Jean-Brillant.

Chers camarades,


Le mercredi 17 février de 13h à19h aura lieu la deuxième demi-journée de grève.

Nous vous donnons rendez-vous pour piqueter de 13 heures à 19 heures devant le pavillon du 3200 Jean-Brillant.

Nous vous rappelons que votre présence est indispensable pour exercer de la pression sur l’employeur et permettre aux négociations d’avancer.

INFO NÉGO NUMÉRO 14

Info négo numéro 14
16 février 2010.


Aujourd’hui s’est tenue la 18ème rencontre de négociation avec l’employeur, et 4ème en présence du conciliateur. Il a été question des articles sur les questions normatives. Les articles étant proches d’une entente ont été rediscutés, certains avec des positions proches d’une entente (article 6.04 harcèlement, article 26 santé et sécurité, article 18.05 maladie de plus d’une semaine) alors que d’autres sont en suspens (proposition d’un recul de la part de l’employeur sur l’article 16, formation professionnelle et perfectionnement).

Par ailleurs, l’après-midi de la rencontre de conciliation a été consacrée à la lettre d’entente 11 (musique) et il y a désaccord sur 2 points fondamentaux :
1. L’employeur demande que ce soit le professeur qui choisisse son accompagnateur (retour à la pratique avant la lettre d’entente)
2. L’employeur montre un refus complet de considérer les accompagnateurs comme des chargés de cours au sens de la convention, ce qui leur enlève des droits déjà acquis comme l'accès à l'intégration pédagogique ou la reconnaissance de conditions d'enseignement.

Il reste peu d'articles normatifs à discuter (définition de double emploi; attribution) et les signes d'ouverture sont minces.

L'Université reste fermée sur la question de la taille des groupes et sur le rattrapage salarial.

En conséquence, il y aura une autre demi-journée de grève. C’est un rendez-vous demain de 13 h à 19 h, en face du 3200 Jean-Brillant, et n’oubliez pas d’apporter votre foulard bleu.

Votre comité de négociation.

lundi 15 février 2010

INFO NÉGO NUMÉRO 13

INFO-NÉGO NO 13

15 février 2010

SUCCÈS ÉCLATANT DE LA PREMIÈRE ACTIVITÉ DE GRÈVE DES CHARGÉES ET CHARGÉS DE COURS


Aujourd’hui 15 février se tenait la première demi-journée de grève des chargées et chargés de cours de l’Université de Montréal, de 13h à 17h. Cette décision a été prise par le Syndicat suite au mandat confié par les membres à leur comité exécutif lors de l’Assemblée générale du 31 janvier 2010. Depuis cette assemblée, l’employeur a déposé des « propositions » qui se résument uniquement à des refus ou des reculs pour les chargées et chargés de cours. Il convenait donc de montrer la détermination des membres du SCCCUM avant la prochaine rencontre de conciliation, qui doit se tenir le 16 février.

Pour cette première activité de grève, les chargées et chargés de cours avaient décidé de mener un seul piquet de grève, face au Pavillon Roger-Gaudry, au pied de la tour du Rectorat. C’est en effet dans ce pavillon que devait se tenir l’Assemblée universitaire ce 15 février. Les représentants des chargées et chargés de cours ne se sont bien évidemment pas rendus à cette Assemblée. Mais grâce au soutien de nombreux autres groupes sur le campus, la réunion de l’Assemblée universitaire fut si boycottée qu’elle dut être annulée, faute de quorum !

En effet, plusieurs organisations étaient présentes sur la ligne de piquetage pour afficher leur soutien à la cause des chargées et chargés de cours : le Syndicat général des professeurs et professeures de l’UdeM (SGPUM), le Syndicat des employé-e-s de soutien (SCFP 1244), le Syndicat des étudiant-e-s salarié-e-s (SESUM), l’Association générale des étudiant-e-s de la Faculté de l’éducation permanente (AGEEFEP) et la Fédération des associations étudiantes du campus de l’UdeM (FAECUM). Une belle unanimité qui montre on ne peut plus clairement que les revendications des chargées et chargés de cours sont soutenues par l’ensemble de la communauté universitaire !

Au cours de cette activité, des discours de solidarité ont également pu être entendus. Jean Trudelle et Marie Blais, respectivement président et première vice-présidente de la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) ont apporté le soutien non seulement des autres syndicats de chargées et chargés de cours, mais également d’une grande partie du monde de l’éducation. Gaétan Châteauneuf, président du Conseil central du Montréal métropolitain (CCMM-CSN) a quant à lui signifié l’appui de tous les syndicats CSN de la région, et souligné le bien fondé de notre lutte. Finalement, Francis Lagacé, président du SCCCUM, a rappelé que les refus de l’Université concernant le rattrapage salarial, la stabilisation de l’emploi, ou la taille des groupes-cours, étaient inacceptables pour les chargées et chargés de cours.

À l’issue de cette activité, qui s’est déroulée sous un beau soleil mais dans un vent frais, personne ne doutait plus de la détermination et de la solidarité des chargées et chargés de cours dans leur mobilisation, mais également du soutien dont ils bénéficient, tant sur le campus que dans la communauté en générale.

Le résultat de la prochaine rencontre de conciliation, le 16 février, déterminera si les chargées et chargés de cours devront à nouveau se faire entendre de la sorte auprès de la direction de l’Université. Restez informés sur notre blogue : www.scccumennego.blogspot.com

vendredi 12 février 2010

Info-grève de l'Université de Montréal

Vous retrouverez la liste des cours annulés et des cours écourtés à l'adresse suivante :

http://www.umontreal.ca/infogreve/cours.html

jeudi 11 février 2010

Lundi 15 février de 13h à17h, première demi-journée de grève

Chers camarades,


Le lundi 15 février de 13h à17h aura lieu une première demi-journée de grève.

Nous vous donnons rendez-vous à 13 heures devant le pavillon principal, Pavillon Roger-Gaudry, au pied de la tour de l’Université de Montréal afin de piqueter devant l’Assemblée universitaire qui se réunit ce jour-là.

C'est le début de notre grève et c'est votre présence qui permettra de faire en sorte que vos revendications feront leur chemin. Sans votre appui, le comité de négociation n'obtiendra pas ce que vous avez demandé par les instances démocratiques du SCCCUM.

Comme il s’agira de votre première implication dans la grève, vous pourrez vous inscrire comme grévistes actifs (personne présente à des activités de grève syndicale et qui peut donc être admissible à une rémunération avec le fonds de défense professionnel). Pour ce faire, nous demandons aux membres avec des personnes à charge d’apporter une preuve à cet effet. On répondra à toutes vos questions quant à votre inscription sur place.


N’oubliez pas d’apporter votre foulard bleu.

À lundi donc, 13 heures.


Vous pouvez consulter la foire aux questions sur notre blogue :
http://scccumennego.blogspot.com/p/foire-aux-questions.html

samedi 6 février 2010

IL FAIT BEAU DANS LE MÉTRO!


Vous avez peut-être déjà remarqué que, depuis quelques jours, les chargées et chargés de cours s’affichent en grand dans le métro! En effet, les stations Côte-des-Neiges, Université-de-Montréal et Édouard-Montpetit, qui desservent toutes trois le campus, sont ornées de panneaux rappelant l’une de nos principales revendications : la taille des groupes-cours. Grâce aux talents de Boris, dessinateur de la CSN, ce sont des dizaines de milliers de voyageurs, dont de nombreux étudiants et travailleurs de l’Université, qui sont ainsi sensibilisés chaque jour à nos revendications.

jeudi 4 février 2010

Bienvenue sur le blog du SCCCUM en négociations

Bonjour,

Vous êtes sur le blog du SCCCUM en négociations.